Ôde à l’anomalie
Il existait un homme qui se fichait bien du regard des gens et qui assumait son amour immodéré pour les trolleybus. Martial est un visage que tous les lausannois connaissaient dans les années 80 (à lire à la vaudoise). Il a fini par être interné, laissant un vide, annéantissant un réseau de transport public irremplaçable. Il nous a définitivement quitté en 2024. Son trolleybus finit dans la collection d’art brut de sa ville. Michel Etter l’a rendu immortel en lui consacrant un court métrage disponible ici:
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